S’il y en a bien un qui joue un rôle important en matière d’énergie, c’est votre gestionnaire de réseau de distribution (GRD). Mais à quoi sert-il ?
"Cette année, j'ai consommé 3 500 kW". Pourquoi cette phrase est incorrecte ?
L'orage arrive... Mon installation photovoltaïque est-elle en danger ?
Comme son nom l’indique, l’autoconsommation énergétique désigne le fait de consommer de l’énergie que l’on produit soi-même. Elle n'implique toutefois pas nécessairement la recherche d’une autosuffisance.
Avec une installation photovoltaïque, faut-il garder son compteur bihoraire ?
Ces journées parfaites où il ne fait ni trop chaud, ni trop froid, sont-elles aussi appréciées de nos panneaux photovoltaïques ?
D’intérêt tant pour les fabricants que pour les pouvoirs publics, la simplicité de la technologie photovoltaïque affiche un recyclage de plus de 90% de ses composants.
Qu’elle qu’en soit la nature, il convient de s’assurer de la tenue effective, des surfaces considérées pour votre installation.
Vos besoins électriques présent et/ou futurs doivent au minimum atteindre 1500kWh/an.
Par nature aléatoire, l’électricité produite par les cellules photovoltaïques requiert un équilibrage. Ce mécanisme, dit de «compensation», est un enjeu majeur de la transition énergétique et de la place que votre installation y tient.
Toute installation photovoltaïque est soumise au Règlement Général sur les Installations Electriques (RGIE).
L’effet photovoltaïque repose sur la capacité de certains matériaux semi-conducteurs à convertir une énergie reçue sous forme de lumière en énergie électrique exploitable.
Un ombrage même partiel sur un panneau affecte l'ensemble de sa série et par conséquent, l'installation dans son entièreté. Facteur important de la capacité de production, les risques de zones d'ombre sont étudiées lors de notre rencontre.